Bienvenu sur PidyonBreslev.com

IMPORTANT: Nous rappelons que ce site ne doit pas etre utilisé le Shabbath et les jours de Fetes.
 
Chercher un pidyon :             Mon Panier 
     

Témoignages et récits de Pidyonoth de Rabbi Nahman de Breslev


Avoir des enfants

« Cela faisait plusieurs fois que mon mari et moi essayions d'avoir un enfant. Un proche me conseilla de faire un pidyon.
Quelques semaines plus tard, je fis un test de grossesse qui s’annonça, grâce à D.ieu, positif, à ma plus grande joie.
Je me suis rendue compte, par la suite, que le chèque du pidyon avait été encaissé le jour même où j’appris cette nouvelle.  »

Disparition des maux de tête

« Il y a 13 ans, je souffrais beaucoup de maux de tête, tellement forts que j avais de plus en plus de mal à me consacrer à mon mari, à m’occuper de mes enfants et de ma maison.
L'obscurité et le sommeil qui m'apaisaient habituellement, ne calmaient plus la douleur, qui s'intensifiait de jour en jour.
Mon mari alla un dimanche prier minha dans une synagogue Breslev et me proposa de faire un pidyon.
Ce jour-là, j’avais tellement mal qu’il m’était même difficile de parler. Il faut que vous sachiez que j'ai toujours eu du mal à croire, je n’ai pas une grande foi, mais ce jour-là, à bout de paroles, de médicaments, et et cloîtrée dans l'obscurité, je lui donnai mon accord et m'endormis, épuisée de douleurs.
A mon réveil, à 19h45, la douleur avait complètement disparu.
Mon époux rentra une heure plus tard et heureux de voir que j'allais mieux, me raconta qu'il avait pu faire mon pidyon. Et il ajouta qu’il était précisément huit heures moins le quart quand le pidyon a été fait. Je sursautai : c'était l'heure où j’avais constaté la disparition de la douleur.
La douleur et les névralgies ne sont plus jamais revenues, et je sais que c'est le pidyon de Rabbi Nahman qui m'a sauvée, ainsi que la foi dans les tsadikim. »

Trouver le bon appartement

« Nous vivions dans un appartement en location que nous devions quitter dans l’année sous peine d’être expulsés. Nous n’avions rien trouvé dans le parc immobilier privé, compte tenu de notre budget, et nous n’avions aucune certitude de pouvoir obtenir un logement social dans les temps.
J'ai parlé de mes préoccupations à un proche qui m’a conseillé de faire un pidyon de Rabbi Nahman. Après quelques jours, il m'indiqua un pidyon correspondant à "Trouver une maison là où il est bien pour moi d'habiter", dont le montant est 14€35.
De notre côté, nous avions multiplié les visites, les dossiers de candidature et rien n'aboutissait. Plus la date butoir avançait, plus nos craintes augmentaient. Nous nous imaginions contraints d'aller vivre dans le F2 de mes beaux-parents avec nos 4 enfants... Un mois avant l’échéance, nous étions restés éveillés toute la nuit avec mon épouse sans trouver de solution à ce problème et à ses conséquences (travail, banque, éducation...)
Plus tard dans la matinée, en arrivant au bureau, j'ai vu sur ma table les coordonnées d'un organisme locatif auquel j'avais envoyé un dossier depuis plusieurs mois. En les appelant, on me dit :
« c'est étonnant que vous m'appeliez maintenant, parce que j'ai votre dossier sur mon bureau et j'allais vous contacter pour vous annoncer que votre dossier a été présenté en commission la semaine dernière et un F4 vous est proposé à la location. »
Je n'y croyais pas. Il a fallu que je reçoive le fax de l’autorisation de visite pour que ma femme commence à se réjouir.
Nous avons pu visiter l'appartement début juillet, et signer pour déménager le jour même de la date butoir.
Cet appartement était tout à fait adapté à notre famille : il se trouvait tout proche d'une synagogue, d’un mikvé et d'une école juive, les voisins, les gardiens nous ont très bien accueillis.
C'est vraiment "Trouver une maison là où il est bien pour moi d'habiter" »

Trouver un travail

« J’étais à la recherche d’un premier emploi en tant que consultant en informatique. J’avais passé de nombreux entretiens avec des sociétés de services, sans succès : j’étais jeune diplômé, sans expérience, dans un secteur en crise. Je fis le pidyon de Rabbi Nahman pour réussir dans ma recherche d’emploi. C’était mon premier pidyon.
Quelques jours plus tard, je suis embauché par une société informatique, qui plus est, sans avoir encore de mission chez un client. Un vrai miracle ! Seulement, entre temps, j’oublie complètement que j’ai fait le pidyon de Rabbi Nahman. Afin de garder mon emploi, le nouveau défi consiste à décrocher une mission chez un de leurs clients, au risque d’être licencié. Les jours passent, j’enchaîne les entretiens chez les clients, sans succès.
Après deux mois sans mission, le responsable commercial me convoque pour faire le point. Il m’annonce qu’il doit mettre fin à mon contrat de travail, son équipe ne trouvant pas de mission correspondant à mon profil et à mon salaire. Devant mon désarroi, le responsable est touché par ma situation et décide de s’occuper personnellement de mon cas pendant un mois. Pour augmenter mes chances, j’accepte de signer un nouveau contrat de travail avec diminution de salaire.
Après deux semaines sans nouvelle, je me rappelle avoir fait le pidyon de Rabbi Nahman. Je ne comprends pas alors ma situation et commence à douter de la force du pidyon. C’est alors que mon responsable m’appelle en toute hâte pour passer un entretien dans les deux heures. Tout s’enchaîne très rapidement. En route vers le client, le responsable me décrit brièvement le poste. L’entretien s’avère facile. En réalité, c’est juste une présentation du client…le poste est déjà à moi !
En plus de tout, le responsable m’annonce qu’il oublie le nouveau contrat avec diminution de salaire. Il me demande de le déchirer. Incompréhensible ! En quelques heures, j’ai un contrat de travail sans période d’essai, au salaire souhaité ! J’ai une mission chez un client sans avoir passé d’entretien !
C’est un vrai cadeau de D.ieu !
Par la force du pidyon de Rabbi Nahman, j’ai pu trouver un travail.
Merci Hashem. »

Guérison complète

« Vers l’âge de 12 ans, durant la semaine du 9 av, je jouais avec de grosses pierres. En soulevant une pierre extrêmement lourde, ma main droite lâcha prise et ma main gauche se retrouva écrasée entre la pierre et un rocher. D.ieu merci, je pus retirer ma main.
En la regardant, j'ai constatai que le bout de mon index était en sang : mon doigt était bleu violet et mon ongle arraché.
Dans la soirée, aux urgences, le chirurgien m’expliqua que le bout de l'os de l’index était complètement cassé, que je risquais de ne plus ressentir mon index et que mon ongle n'allait certainement pas repousser.
J'en parlai à mon père, qui a immédiatement fait un pidyon de Rabbi Nahman.
Je devais refaire mon bandage toutes les semaines. Dès la deuxième semaine, le médecin constata que mon doigt commençait à guérir très prématurément. Il avait dégonflé, et je pouvais à nouveau le bouger.
Il me dit qu’à ce rythme, mon doigt serait complètement guéri en deux mois. Et c’est effectivement ce qui se passa.
»

Opération du cœur réussie

« Mon père de 70 ans devait subir un quadruple pontage coronarien,  une opération à cœur ouvert. Cette opération présentait de gros risques, d'autant qu'elle devait avoir lieu dans un hôpital de province assez peu adapté.
La veille, ou bien le jour planifié de l'opération, tout de suite après la prière du matin, j'ai fait un pidyon de Rabbi Nahman pour mon père.
Quelques heures après, en appelant ma mère, j’apprends que l'opération a été annulée en raison d'un petit rhume. Mais elle m'apprend aussi que mon père ne va pas bien moralement. Je décide alors d’aller le voir, et m'aperçois sur place que le service de cardiologie n'est vraiment pas du tout adapté et qu'ils sont en train de le laisser mourir.
Nous avons eu quelques difficultés mais sommes finalement parvenus à faire transférer mon père dans un grand hôpital parisien, spécialisé en cardiologie, dans lequel l'opération a de nouveau était planifiée. Un nouveau pidyon a été réalisé, et l'opération a été, D.ieu merci, un succès. »

 
 



Créer un site
Créer un site